un prof qui déserte les cours (pv shibuo)

Invité

L'après midi tirait à sa fin, c'était la dernière heure de cours et c'était censé être son cours. Mais le jeune professeur d'anatomie était quelque peu blasé de donner des cours d'anatomie à des gueules d'anges dont la plupart était puceaux jusqu'aux coudes. Il avait surtout bien ennuyé quand un élève avait mis le cri d'alarme comme quoi il fallait rammener un curé dans ce lieu et faire un sermon à Ren. L'élève en question avait sans le savoir échappé à la vengeance ultime de Ren contre la religion. Il détestait la religion, les croyances en des dieux, les fêtes liées à ces dieux car sans cest fichues croyances, sa date de naissance aurait été une date de naissance normale. Pourquoi les gamètes de son père et de sa mère avaient eu l'heureuse idée de concevoir un embryon qui donnerait naissance à un bébé à noël? Ils auraient pas pu faire ça quelques mois plutôt ou après,histoire de ne pas le faire naître ce jour là? Mais non, ils avaient voulu faire style. L'enfant Jésus incarné en Ren. Mouais ils avaient du penser à je ne sais quoi de travers au moment de la conception de Ren vu comment il tourna. Ce ne fut pas l'enfant Jésus qui vint mais bien l'enfant pas net qui cherche à fuir le trop d'amour du monde. C'est marrant comment le monde est mal fait, parfois, certains crèvent d'envie d'être aimé et lui , il voulait ne pas être aimé du moins pas en tant qu'icône.

Parce qu'on l'avait gavé hier, il avait préféré mettre les voiles. Un prof faisant l'école bussonnière voilà ce qu'il était cependant mieux valait ça plutôt que de retrouver un élève traumatisé , comme l'avait été les parents de ren, qui le sont toujours d'ailleurs, si ce n'est plus et d'envoyer tout ce petit monde dans un hôpital psychiatrique. Lui, il s'en sortirait grâce aux appuis mafieux dont il disposait. Son tuteur, Sanzu, ne laisserait pas le futu chef de la mafia allait en taule. Bien que Ren soit un taré de service, un enfoiré, il connaissait ses limites et là il les avait atteintes c'est pourquoi il avait préféré faire une pause, s'éloigner des élèves et de l'école. Il s'était levé très tôt comme à son habitude, après avoir dormi moins de deux heures, il avait errer dans les couloirs , à faire entendre le sinistre bruit de son revolver. Il avait voulu jouer à la roulette russe. La tention était là. Dommage que son flingue ne contienne pas de vraies balles. Un jour, quand sa folie empirerait, sans doute par désespoir, par trop d'ennui, il mettrait de vraies balles, une vraie balle et il jouerait ce jeux là simplement pour se divertir.

Quand ce n'était pas la roulette russe , c'était le flirt et quand c'était pas le flirt, c'était la cuisine. Le jeune homme cherchait des occupations, à croire qu'il n'y en avait pas assez pour remplir tout le vide contenu dans une seconde. Que ferait il aujourd'hui? Tirer aux pigeons? Impossible, on l'entendrait. Je ne pense pas que la Sweet aimerait que Ren descende les oiseaux dont elle regorge. Il chercha une occuption quand une idée de génie lui vint : faire des cascades avec sa moto, la bas sur le parking, rouler à fond et se laisser complètement aller, dépasser les limites encore et encore.le jeune homme grimpa sur l'engin puis démarra en foutant la pétoche à certains des élèves qu'il croisa. Il roulait vite, les yeux brillant d'excitation, comme un gamin à qui l'on vient d'offrir le dernier gadget à la mode. Il ricana car il avait peur à un pauvre petit vieux. Si il se faisait arreter? Qu'importe, son casier demeurerait vierge. La seule chose vierge chez lui même si il ne l'était plus. Une fois arrivé au parking, le jeune profeseur s'adonna à ce plaisir particulier de faire de cascades, effleurant des voitures de sa moto mais sans provoquer de gros dégâts. Il avait oublié les cours, l'ennuyeux petit élève de merde qui avait osé émettre l'idée de faire fenir un curé à la sweet. Il ne pensait plus qu'à son adréaline montant en fleche, à son excitation totale qui le faisait battre le sang plus rapidement, dans les veines. C'était ça la vie, un amusement totale et sans fin. Oui il se lasserait de cette activité mais pour le moment, sentir vombrir sa moto sous lui, était un plaisir particulier. Bon rien a voir avec l'orgasme mais un plaisir quand meme pas anodin.

Invité

(huhu trompé de perso)

Avec l'accord du directeur, j'avais eu la permission de quitter un peu plus tôt aujourd'hui, cela faisait bientôt deux semaine que j'étais engager en tant que surveillant du Lycée Sweet Cream School. C'était bien la première fois je crois, que je reste aussi longtemps avec un job fixe. Malgré que celui ci ne soit pas géniale, et que j'ai parfois du mal à rester calme. D'ailleurs hier j'ai bien faillit frapper un élève, celui ci c'était amuser à se foutre de ma gueule, oui car je devais surveiller un groupe en permanence, mais depuis tout petit j'ai comme une sale manie ou plutôt une maladie qui fait que presque toute les quart d'heure je me met à avoir des crise de toux. Ce jeune c'était donc mis a parler dans mon dos et rigoler avec ses potes, à la fin de l'heure je l'avais choper dans le couloir pour lui régler son compte, mais un professeur qui passait par la m'en avait empêcher et ma dit qu'il en ferrais un rapport au directeur ... apparemment celui ci n'en à pas encore eu vent, vus qu'il ma laisser partir plus tot enfin bref. Je crois bien que finalement ce job je ne vais pas le garder non plus. Je m'adossais à un mur, et eu de nouveau une de ses putain de crise de toux. Quand cela passa, je soupirais et leva les yeux aux ciel. Je me suis toujours demander pour qu'elle raison j'avais mériter cette maladie, ... il n'y avait aucun remède, et je suis de plus en plus faible de jour en jour. Par moment même mon cœur se serrait me provoquant d'atroce douleur que je cachais en moi même, je n'aimais pas montrer ma souffrance, mais c'était de plus en plus dure de le garder au donc de moi. Cette maladie me bouffe au fur et à mesure, j'en est encore pour une 20 aine d'année au maximum ma dit le médecin ... 40 ans ... je trouve sa jeune pas vous ?

Je me remis en route, en direction de mon appartement en ville, il est petit mais avec le peu d'argent que j'ai c'est la seul chose que je peut me payer. Il faut vraiment que je rentre et vite, me boire une bonne limonade ! que j'aime cette boisson, elle est rafraichissante et me fait oublier pendant quelque minute que la vie est pourrie. J'accélérais un peu le pas en pensant donc à cette bonne boisson qui m'attendais une fois rentré, pour faire plus cours, je décida de passer par le parking, je zigzaguait entre les voitures, pour me frayer un chemin, quand soudain un vertige me pris, me faisant perdre l'équilibre, j'en avais de plus en plus souvent en ce moment, je posa ma main sur ma tête, je voyait tout flou et m'arrêta le temps de reprendre mes esprits. Malheureusement je me trouvais en plein milieu de la route du parking, et j'entendis un vrombissement arriver plutôt vite, je me tourna et vit une moto arrive à toute allure en plein sur moi. J'écarquillais les yeux, elle arrivait beaucoup trop vite, je n'allais pas pouvoir l'éviter, c'est quasiment sur, et je n'est pas la force de me remettre de suite à marcher, mes jambes se mirent à trembler, tout tourna autour de moi encore plus. Fichu vertige ! Je ferma les yeux, m'attendant au choque, pendant que je me laissait tomber à genoux dut au fait de mes vertiges.

[voila désolé c'est petit ^^'' et tout pourrie]

Invité

( ca arrive et t'inquietes ça me va. Au fait compliment, ya presque plus de fautes dans ton post là, continue comme ça ^^)

Il n'y a rien de pire qu'un fou qui s 'ennuit. Il cherchera toujours à s'amuser , à tromper son ennui en créant une catastrophe. Mettez lui une batte de baseball dans les mains, il cassera ce qu'il pourra, mettez lui une bombe dans les mains, il fera exploser le premier lieu qu'il rencontrera et il fera attention qu'il soit bondé simplement pour créer, comme cerise sur le gâteau, un mouvement de panique. En l'occurence, Ren n'avait eu ni batte de baseball ou de bombe entre les mains sinon Dieu seul sait ce qu'il aurait pu faire ou ne pas faire. Evidemment, il avait son revolver.C'était la seule chose dont il ne s'était pas lassé, depuis leur rencontre. A cette époque, il n'avait même pas dix ans. Il avait saisi l'objet, avec un regard fasciné, avec une délicatesse que l'on emploi seulement pour les objets rares, précieux et fragiles. L'étincelle de folie glaciale s'était alors allumé , dans les yeux gris violet. Le joueur était né, de par cette rencontre. Ren est le joueur ultime, par excellence car contrairement aux autres joueurs qui s'imposent des règles et des limites, Ren ne cesse de les faire reculer. Un jour ou l'autre, il chargera son revolver de vraies balles. Il tira et se fera un joli trou dans la cervelle. Qui pleurera? Personne. Dans la famille, on ne pleurs pas. On regrette seulement.

L'enfant , né de l'ennui, le gamin monstrueux à l'intérieur semblait vouloir remplir le vide qui grapillait sa cervelle. Dans un sens, il reproduisait la même erreur parentale: ne pas s'imposer de limites au niveau de l'amour donné à leur rejeton. Comme quoi l'amour surproctecteur, « surparental » ça casse, ça mine, ça envenime les esprits. Qu'est ce qui poussait le gamin à cette sorte de vengeance contre la vie. Le rire fusait, un rire de gamin qui s'amuse. Les pulsions de mort lui murmuraient d'augmenter la vitesse et de se causer un accident. A force de faire le con, il ne vit pas débouler quelqu'un. Il ne vit pas l'homme ou peut être le vit il et fonça sur lui, dans l'intention de lui foutre les jetons. Il s'arrêta juste à quelques centimètres de l'énergumène , dans un dérapage contrôle, dans un crissement de protestation de la part des pneus et des freins. Ren s'accouda au guidon nullement inquieté de sa conduite dangeureuse, ni même de l'accident qu'il aurait pu provoquer. Il se contenta de dévisager l'arrivant, comme on dévisage une photo pour une pub de soins pharmaceutiques.

« Toi ce qu'il te faut , c'est un bon remontant. T'as l'air d'avoir les genoux qui ont flanché..Faut pas trainer par là quand je joues... »

Un sourire lumineux vint éclairer le visage du jeune professeur. Il descendit du bolide pour aider le jeune homme à se relever. Fou mais il savait tout de même observer les règles de politesse et de respect.

« N'empèche, j'aurais peut être pas du sécher le cours.On risque de me faire des remontances. »

Il soupira. Ses paroles auraient pu prêter à confusion. Vu son physique, on pourrait penser qu'il parle en tant qu'étudiant décidant de boycoter les cours. Mais non, il parlait bien en tant que prof or les profs ne sèchent pas les cours, pour une brouitille. Ils viennent même si ça les emmerde. Il faut seulement se rappeler que Mister Ren n'est pas un prof à la base. Ce qui est drôle, c'est de le voir s'inquiéter pour les remontances à venir sur son emploi du temps plutôt que sur ce qui vient de se passer. C'est vrai, il avait tout de même failli renverser quelqu'un et se tuer par la même occasion. Ce qu'il vous répondrez? On meurt tous un jour alors que ce soit aujourd'bui ou demain, qu'est ce qu'on s'en fou du moment que l'on a profité de la vie et de toutes ses saveurs. Son psy avait même eu du mal avec lui. Il ne se l'avouera jamais le pauvre homme mais ex patrié Ren,à la sweet, c'était bien un moyen de se débarasser de ce patient qui refusait de se soigner, pour la simple et bonne raison, qu'il risquait de s'emmerder,, comme un con.

« Chier, j'ai besoin d'une clope. J'aurais pas du penser à ça.. »

là avoir penser aux futurs remontances l'avait gavé. Il fouilla dans sa poche et après avoir sorti l'équipement pour fumer, il se mit à fumer proposant par la suite à sa presque victime de la route, une clope , comme si ce qui était arrivé , faisait déjà parti des trucs à oublier.

Invité

(Merci *.*)

Tout mon corps tremblait à présent, soudain crissement de pneu se fit entendre, mes yeux se crispèrent un peu plus, je m'attendais à rencontrer la moto en pleine face, mais rien n'arriva ... le choc n'eut pas lieu. Doucement j'ouvris les yeux, et vit le bolide arrêter à même pas un maitre de moi. Je levais les yeux vers le conducteur de l'engin, et je lui lança un regard noire. Mais il est taré ce type de me faire une frayeur pareil, j'ai vraiment crus mourir aujourd'hui moi ! je tiens à la vie pourtant ... oui j'y tien vraiment, déjà qu'il ne me reste plus longtemps ... Le gars accouder aux guidon de sa moto ne semblait vraiment pas bouleverser par ce qui venait de se passer, ses yeux me firent froid dans le dos, je pouvais y voir un réelle ennuie de la vie, mais il avait aussi quelque chose de très froid. Je soutenais mon regard dans le sien, si on était dans un dessin animé, on pourrait voir que mes yeux lancent des éclairs. En plus il me dévisageait, une chose dont j'ai horreur ... malheureusement beaucoup de personne le fond, car je suis extrémement blanc et maigre à cause de ma foutue maladie. Le type se mit ensuite parlait, il s'exclama comme quoi il me fallait un remontant car apparemment je ne tenais plus debout, il ajouta également que je ne devrais pas être ici pendant qu'il joue, il est marrant lui comment je devrais être au courant ? c'est marqué quelque par peut être ? terrain de jeu pour malade mentale ? Je ne répondit rien à par un faible ''je vais bien'', il descendit par la suite de sa moto, un sourire était présent sur ses lèvres, il m'aida à me relever, je ne serait pas en pleine crise de toux et de vertige, je l'aurais repoussé, mais la je ne pouvais qu'accepter, mes genoux tremblait encore une fois debout, je m'appuya sur le capot d'une voiture, amenant ma main sur mon front celui ci était brulant et ma respiration était difficile. Je continuais de la fixé intensément.

Hein quoi sécher les cous ? mais c'est un prof pourtant ? je suis sur de l'avoir vus dans la salle des professeurs un jour, alors il sèche ses propres cous ? pour faire joujou avec sa moto en plus, eh bah dite moi, il doit vraiment s'ennuyer dans la vie pour se comporter de la sorte. Il semblait aprés légèrement irriter d'avoir penser à ceux ci, il sorti de sa poche un paquet de cigarette et en alluma une, il m'en proposa également en tendant le paquet, furieux je ne réfléchit pas et frappa dans le paquet le faisant voler plusieurs mètre plus loin. AU fond de moi, une petite voix me disait que je n'aurais pas du faire sa et que j'allais le regretter, mais mon autre partie était trop furieuse pour penser convenablement. Je rajouta à mon acte des paroles, je lui dit d'une voix que j'espérais forte et rageuse.

-Nan mais sa va pas la tête ! comment peut tu être si zen et ignorant après ce qu'il viens de se passer ? et je ne fume pas ... enfin ... j'en suis incapable ...

Je n'aurais pas du m'énerver comme sa, à présent j'étais super essoufflé, je n'est pas l'habitude d'enchainer autant de mot ... je ne parle presque jamais d'habitude. Et oui je suis totalement incapable de fumer, j'ai déjà essayer mais à peine après une taf, ma respiration c'était coupé et j'avais bien faillit crever. Je m'assis sur le capot de la voiture, posa mes mains sur mes genoux et me pencha légèrement en avant tentant de reprendre une respiration normal, car celle ci était rapide et rauque. Tout était de la faute de cette abruti ! si je ne l'avais pas croisé, j'aurais put rentrer chez moi et boire ma limonade tranquillement !

Invité

Ren, pour les amis ou pour les ennemis ou encore l'enfoiré pour les intimes et les mecs intelligents, faisait joujou sur le parking de la ville. Avec sa moto, comme un idiot, comme un con, n'ayant rien de trouver de mieux à faire que de foutre les choquottes aux aventuriers, malgré eux, sur le parking, avec son bolide. Comme un gosse, le jeune professeur avait fait le con, en roulant à une vitesse qui aurait foutu les jetons aux mamies et aux papy. Déjà , il venait de foutre les jetons à un mec qui tremblait littérallement, comme si il avait vu la mort déboulée sur son chemin, pour l'emmener dans une virée éternelle. Eh oh, on n'est pas dans un ghost rider. Sur le coup, Ren ne comprit pas la réaction de l'homme en face de lui. Complètement dans sa bulle, il le dévisageait d'un air peu rassurant. Il faisait peu grand cas des yeux de l'inconnu qui lui tiraient dessus, comme si ils voulaient le buter. Le danger était omniprésent, dans son monde. Déjà, il venait de la mafia alors les règlements de comptes, les tentatives d'assissanats, on peut dire que c'était un de ses hobbies. Puis , il y avait son cerveau avec une folie difficile à décrire. Cette folie faisait naître des pulsions dangeureuses pour les autres et pour lui même. Il en était conscient voilà pourquoi , sur ce parking, il avait fait le con pensant que personne ne viendrait sur son terrain de jeu, surtout à cette heure. Il aurait , sans doute, du mettre un écriteau , avec un attention danger, je joue aux cons.

Avoir faillir renverser un type ne semblait pas l'avoir effrayé plus que ça. Il parlait tranquillement, comme si il avait parlé de la pluie et du beau temps. Il proposa amicalement une clope. Bien sur, il ne savait rien de la maladie de l'homme. Si il avait su , au lieu de le regarder avec pitié et compassion, il lui aurait , sans doute, sorti un « la chance que t'as , tu dois t'amuser hein? » Moui Ren est zarb, obsédé par le jeu. Il ne dort pas beaucoup , par peur de louper des occasions de jouer. La vie est un jeu or quand on dort, on fout rien, c'est comme si la vie s'arrêtait, comme si le jeu était mort.

« Quoi qu'est ce qui vient de se passer? Je ne faisais que jouer..J'ai tué personne là non? Après tout, pour un mort, t'as la langue bien pendue... »

Ren pencha la tête sur le côté. Le « j'en suis incapable » grimpant maintenant à son cerveau pour y déceller sans doute un truc divertissant.

« Pourquoi donc? T'as jamais essayé? »

Ren tira sur sa clope, fit échapper une volute de fumée de par ses narines et essaya de se composer un air sérieux.

« Je devrais pas être là mais c'était chiant là bas.. »

Oui il parlait bien de son propre cours, de sa propre classe qu'il avait laissé abandonnée, comme on abandonne un chien à la SPA. Sans aucune pitié, sans aucun remord d'avoir séché le cours, le jeune prof qui paraissait plus d'être un sale gamin faisant l'école buissonnière , se tourna vers sa presque victime.

« Je te paie un verre , ça nous détendra tous les deux. J'ai une mauvaise journée et une mauvaise semaine du coup je cherchais un moye de me vider la tête. Enfin, je pourrais jamais la vider totalement et je crois même que mon cerveau fonctionnera toujours ainsi.. Mon pauvre psy va finir psy, un de ces 4... »

Puis il s'avança vers l'inconnu détaillant son visage plutôt pas mal en dehors de son teint de cadavre.

« t'as eu si peur que ça? Je roulais pas très vite pourtant.. »

Le jeune homme rangea son briquet qu'il tenait encore à la main dans sa poche puis il reprit d'une voix douce.

« Je m'appelles Ren et toi? »

Ben ouais il allait pas continuer par des « eh toi » ou « monsieur ma presque victime.. » c'était pas poli...

Invité

(Excuse moi du retard mais avec le déménagement, j'ai un peu de mal à pouvoir rep à mes rp surtout que chez moi j'ai pas le net donc étant chez mon oncle qui à internet j'en profite =D)

J'avais réellement l'impression de me trouver face à un gosse la, retenais moi ou je lui flanque une gifle !! Il se prend pour qui cette imbécile, il prenait vraiment ce qui venait de se passer à la légère à croire que sa lui arrivait tout les jours. N'empêche pour un prof sa le fait pas trop de faire joujou avec sa moto sur le parking et de manquer d'écraser quelqu'un. Je me demande comment ils ont fait pour l'accepter en tant que prof à la sweet .. quoique ils mon bien accepter moi aussi alors bon et puis c'est une école de taré de toute façon, j'y suis depuis peu, mais le peut que j'ai vus me prouve que j'ai raison, y a tout le monde qui se baise dans cette école même les profs et les élèves entre eux. Je soupirais, mon mal de crane avait l'air de passer un peu et ma respiration redevenait normal. Mes yeux toujours un peu embrumé fixé intensément Ren. Ren oui c'est bien un prof, j'ai vus son nom sur la liste des professeurs ! Malheureusement pour moi, ren dit une chose qui allait me faire rester un peu plus longtemps à ses cotés, il se proposer de m'offrir à boire, oh oui une bonne limonade bien fraiche, j'en avais l'eau à la bouche. Mais je voulais pas paraitre à ce point excité par l'envie d'aller boire un coup, alors je dit d'une voix que j'espère froide, mais qui ne l'était pas du tout.

-Bien j'accepte ta proposition ! pour .. pour le faite de fumer, si j'en suis incapable, c'est juste à cause d'un ... d'un souci de santé et c'est pas tes oignons !

Je lui lançais ensuite un regard noire du genre '' m'en demande pas plus pigé !'' Je n'aimais pas parler de ma maladie, souvent aprés les gens on pitié de moi et sa me plais pas, meme si je suis presque sur que ce type en aurrez rien à foutre, je voulais pas lui en parler ... je voulais juste oublié cte foutue truc qui me ronge intérieurement, il ne me reste plus beaucoup de temps à vivre, et le peut qu'il me reste, je veux le vivre en n'y pensant plus ! J'enfouis mes mains dans les poches de ma grande veste noire, et remonta le col de celle ci couvrant ainsi la moitié de mon visage, je marmonna ensuite mon prénom après qu'il m'est dit le sien.

-Moi c'est ... Nobuo ...

Invité

Ren se reçut une gifle qu'il aurait pu éviter mais par pur amusement, il avait ce qu'on appelle, fait exprès de la recevoir puis après tout il l'avait bien cherché cette gifle là. Il pouvait au moins offrir comme compensation la joie de lui laisser lui foutre une gifle. En plus, c'était pas une gifle qui allait le traumatiser, pour le restant de ces jours. C'était pas la première qu'il recevait et ce serait sans doute pas la dernière. Le jeune professeur eut ensuite un sourire témoignant alors que la gifle en question ne lui avait rien fait sauf qu'elle avait eu le mérité de l'amuser. Le surveillant frappait comme une femme. C'était ce qui le fit intérieurement. Rien avoir avec les monstrueux coups de poings de Tony la Taupe avec ses grosses mains d'étrangleurs de violeurs d'enfants. Il l'aimait bien ce Tony à cause de ce point commun au sujet du viol mais sinon Tont était un mec un peu emmerdant. Espérons que le surveillant là ne soit pas du type hyper emmerdant sinon Ren pourrait bien l'envoyer à l'hopital. Le jeune homme invita meme le surveillant a aller boire un coup. Il gara la moto, mit l'antivol et une fois descendu du bolide, il se plaça à ses côtés.

« eh ben sans mes clopes, je creverais d'ennui..ou alors je péterais un cable. »

phrase dite d'un ton banal montrant bien que Ren était un gros fumeur mais pour les raisons que l'on pense. Il faut aller dans sa tete pour comprendre la raison de sa dépendance à la nicotine. Il se mit en marche , d'un pas de prommeneur, tranquille, ayant le visage d'un mec tout à fait normal puis il reprit.

« Nobuo....ca me dit quelque chose et d'ailleurs ta tete me dit quelque chose..tu travaillerais pas à la sweet en tant que soubrette? »

le jeune homme avisa alors une terasse de café. Il entra dans le café, tenant la porte puis se dirigea vers le comptoir. Il commanda une limonade pour sa presque victime et lui se prit un coca cola. Accoudé au comptoir, il continua la conversation.

« heureusement que je suis parti de la sweet pour la journée..certains élèves ont un caractère à la con. »

il lui demanda ensuite comment se passait son travail par pur politesse et non pas parce qu'il s'y intéressait vraiment.
«
« tu aimes jouer? »